VETERANOS OPERAÇÕES ESPECIAIS

  • COMANDOS E OPERAÇÕES ESPECIAIS
  • CONFRARIA GRAFONSOS
  • PARAQUEDISTAS FRANCESES
  • VETERANOS FUZILEIROS NAVAIS

sexta-feira, 11 de fevereiro de 2011

 Hommes du Grafonsos, la Saga du Condor.

Sérgio de Mello Queiroz – Pqdt 38.937


Introduction


Transmission à des amis français et d'autres pour leur permettre de lire et d'avoir dans sa collection publiés dans ces deux chroniques Almanach GRAFONSOS.
Il s'agit d'un citoyen hypothétique qui a quitté le sein de sa famille pour servir la patrie.
Déplace les pays, cultures, mais la motivation d'être un combattant aérien est le même.

J'espère que vous apprécierez.
Les étreintes du Brésil!

Je capitule I
le jour
     
          Le pire moment de ma vie.
          Retourner, vivre ce qui a très déjà j'ai pensé qu'il était défunt, ont découvert seulement endormi.
          Quand j'ai reçu le courrier électronique de Freire en convoquant à tous pour la mission « Sept de septembre », comme lui-même a appelé, ai commencé à trembler et mes yeux se sont remplis de larmes. Je, encore, allais exhiber ma vieille et oubliée béret, qui a laissé de côté par honte, donc ceux lequel méconnaissaient sa valeur caçoavam et ont appelé de « fou », de « fou » et pire, « vieux ». Vieux, je ? Qui a donné était réveillé avant, avoir supposé ma condition de réserviste, donc le pauvre de mon Obtient sa maîtrise de Mérite, signé par mon commandant, ce qui ainsi est exprimé : « Pour que vous soyez utiles à la Patrie, vous devez maintenir, comme citoyen, comportement semblable aulequel tu as maintenu comme militer ». Pauvre de lui, joué dans moyen aux papiers vieux, à l'intérieur même d'une ancienne grammaire, ou, laquelle il sait, dans d'un moyen à un dictionnaire Aurélio
          Mais, après le Freire, j'ai vu qu'il devrait chercher mes mimos, mes souvenirs, mes registres photographiques, ah ! Ceci oui ! Quel parachutiste ne s'est pas rempli de photos Soares, de photographe qui attendait par nos moments de vanité et click ! Rires

Je capitule II
L'odyssée

          J'ai rappelé de tout, de tous ces frères, qui, dans ce matin d'août, dans complet processus d'enrôlement obligatoire, étaient les années de 1973, la dictature mangeaient déliée, Geisel serait notre possible Président ; néanmoins, il y avait les mains du Médici. Il avait seulement 18 ans, une pisciano, tranquille, avait s'engager pour NPOR, les disent pour être Officiel de l'Armée, temporaire, mais quelque chose ce jour s'm'est produit.
Le Sergent lequel il dactylographiait, dans feuille carbonada, mes données, exhibait dans la poitrine une aile blanche, lui ai demandé ce qui était, m'a dit : « je suis parachutiste militaire et celui-ci est l'exposé de PQD ». De bientôt, je m'ai passé à être l'interrogateur, donc, oui, ce sergent apportait pour moi les informations le plus précis jusqu'à ce moment, donc il était moi en s'engageant, en application de loi, et au moins il savait pourquoi le Brésil aurait besoin de moi. Je me suis motivé, ont demandé à lui pour que m'inscrivent dans cette force, il m'a censuré : « Tu vais cesser d'être le lieutenant pour souder ? » Je lui ai répondu : « Je veux être un parachutiste ! » Avec ces yeux bleus, façons rosées, le militaire s'm'est soulevé et le vi entièrement. Il pavait jette de couleur marron, presque au rouge, dans un uniforme qui brillait aussi gommé, a placé ce qui ce serait la plus jolie pièce d'uniforme que déjà vi dans toute la ma vie un béret grená français, le disait, mais avec les couleurs du sang de la Victoire !
 Il a demandé mon nom et a dit : « Guerroyant, tu auras la vie que tu n'as jamais voulu, tu auras la souffrance que tu n'as pas jamais demandé, auras de changer leurs amis et parents par leurs compagnons, tu as certitude de que c'est ceci que tu veus ? ». J'ai répondu, même de forme terrible au sergent : « M., n'est pas ici ? » Il a souri et il m'a pris à une salle, ils où étaient plus quelques éviers, tous de mon âge et aussi effrayants que moi, ai commencé mon odyssée, mon chemin.
          Il a eu nouveaux et de plus rigoureux examens, après fini, ont marqué pour le mois d'octobre, exactement le 15 octobre, les examens physiques qui étaient : monter une corde avec 6m sans l'utilisation des pieds, faire des barres, des flexions, abdominales, courir et sauter J'ai passé au ce moment être un dévoué athlète, avait moins de deux mois pour m'entraîner, connais autres candidats, commençons à m'entraîner joints.
Nous courions et sautions par toutes les rues, de plus en plus Arrivé le jour, passons dans les examens, admets que même avec facilité, donc nous avions ce qui plus ère nécessaire : RACE, FIBRE et MORALE, symboles que nous apprendrions ensuite ils qu'étaient indispendables pour la formation.
          Nous recevons du Commandant médical à suivante affirmation : « 10 janvier, tous approuvés devront se présenter vis-à-vis au quart, bientôt pour s'embarquer pour Rio de Janeiro ». Il a battu le désespoir 


Je capitule III
 Rio de Janeiro

          Le voyage a duré pour plus de 24 heures. Ont désigné un sergent pour lequel, selon eux, il contrôle le personnel quand du parcours, étaient proches de quarante gauchos, de l'intérieur et du capital. Dans Joinvile, Santa Catarina, ont embarqué plus neuf, et, à Curitiba, dans le Paraná, trente et des hommes, aussi effrayants que nous, s'sont étés basés dans les banques vides et avons été s'arrêter vis-à-vis au quart de BLOG Pqdt, le Village Militaire, à alors inédit Rio de Janeiro, donc jamais un nous avait foulé dans des terres originaires de Rio de Janeiro, quiçá, quelques-uns auraient sorti de l'État lui-même.
          Nous avons été reçus par une commission, ce qui dictait nos noms, et près d'elle ils, présentaient le nombre d'identité et le lieu nous irions servir. Il y avait un groupe de gauchos, dans l'autre autobus, déjà désigné pour la 25º Bataillon d'Infanterie Parachutiste ; autre groupe irait servir dans la Société de Communications ; autre mineur pour le Bataillon Logistique, mais notre autobus, frété de la Société Itapemirim, avait d'aller pour la 27º Bataillon d'Infanterie Parachutiste.
            Nous étions originaires de l'III Armée ils, ont découvert, et il n'y avait plus, autres viendraient de Minas Gerais pour le Groupement d'Artillerie et les originaires de Rio de Janeiro, originaires de Rio de Janeiro et originaires de Espírito Santo iraient s'ajouter avec les gens. Beaucoup nous souffrons, beaucoup râpons, avons été humiliés, ramassons de parachutistes anciens, dans la montagne de Madureira du intégrants de la 26º Bataillon d'Infanterie, de Santos-Dumont, Bataillon anciens, assoiffés par nous
          Après la brevetação, tout a changé, étions traités comme égaux, arrimons dans des instructions jointes, de l'« ombro-a-ombro », principalement en le Cours de Formation et Poignées, néanmoins, ma vie, à Rio Grande Do Sul, m'attendait, mes parents m'attendaient, était moi le seul à suivre la tradition familière ai tourné…. Je suis venu pour maison J'ai gagné !

Je capitule IV

 L'entrepreneur
           De bientôt, était moi un réserviste, militer reconnu comme valoroso par mes commandants, ami de mes paires, et respecté par mes subordonnés, a gagné de mon commandant de Société une lettre de recommandation, que privilège ! Geisel était notre Président de la République, s'initiait l'ouverture démocratique Ils ont décidé de suivre ma mission familière.

Par les connaissances acquises et par l'expérience avec autres personnes, j'ai commencé à développer des projets dans le secteur d'envalasamento et distribution des jus et des vins, produits dans la demeure elle-même de mes parents et, avec le travail dans équipe des voisins, était moi un entrepreneur, un industriel ils comme disent, un gagnant. Ils ont constitué famille, ma femme, Maria Célia, dans le Cisplatina, mais avec le coeur brésilien.
 En aimant de la bonne cuisine et de la prendada à l'extrême. De notre amour deux arrêtes, que, dévouées ils, se sont formés la plus vieille dans à Droit et plus nouveau dans Administration de Sociétés, toutes les deux déjà tournés pour supposer le patrimoine qui a conquis, donc, professionnellement, J'ai gagné !

Je capitule V
De la Parade

         
Le 7 septembre 2008, un matin gris et froid, la température ne passait pas des 8 degrés, la sensation thermique était dans cinq, mais mon attente plus maintenant m'a faite dormir la nuit passée, me suis réveillée aux 5 heures, chaque étape me venait un film Les câbles de mes chaussures marron me faisaient reporter à ces moments à la 27º BIPqdt, quand, vis-à-vis au miroir de la salle de bain, après avoir fait la meilleure barbe de ma vie, ai commencé à ajuster la cravate rouge, idéalisée par le Freire, dans mon avis, pourrait être substitués par un mouchoir gaucho, mais il représentait ma vie professionnelle, mes réalisations et la couleur de sang représentait l'égal dévouement par la Brigade et par la Société. Il rappelait de qu'à il traitera mes fonctionnaires, à la décision les conflits, utilisait beaucoup de du mystique parachutiste, donc sous les poteaux verts en frappant mes côtes dans TIBC, dans Gericinó, il a su contrôler mes émotions, quão facile ère appliquer les enseignements dans la société.
 Au placement mes lunettes, dont me venaient à l'esprit j'ai formé deux filles, les ai préparées pour la vie, leur donne du confort et des conditions pour l'étude, néanmoins au moins je passe du Cours Technique dans Comptabilité, cours qui me prendraient à l'Oficialato, mais le beaucoup pour la réalisation professionnelle.
 Les lunettes j'ai eu qu'il les enlèvera, donc l'émotion de placer encore mon béret grená marejaram mes yeux de telle forme, qui se troubleraient les lentilles. Des larmes ont vidangé, était moi encore Parachutiste, était moi même dans ce manteau noir, de pieds marron et bref argenté, en allant pour la mission le plus important de ma vie : tourner être un guerrier ailé, sans armes ou munitions. Il savait ils qu'auraient d'être en attendre par moi une paire de vétérans, admets que quelques-uns je ni connaissais mais j'ai été !
          De ma maison jusqu'au lieu de la concentration j'ai été à pied, en paradant cet uniforme, détaché dans la multitude par le béret rouge, les cadeaux me regardaient et commentaient pas plus sacaneavam, ni rient de moi plus maintenant était plus un « vieux fou » était PARACHUTISTE
Visage, j'ai tourné à être PQD !
          Les personnes en uniforme me prêtaient continence comme ils se vénéraient ce symbole plus grand, qui différencie une troupe d'autre. Boot marron fusilier naval a, Para-Sar a, mais le béret rouge est NÔTRE !
          Trouver moi avec le groupe, accolades et à compressions de main, près de ils nous étaient les Fusiliers Navals Anciens, qui dans son uniforme, rétrécis par l'argent liquide, je les ai appelés pour la photo mélangée, les larmes et des sourires se sont produits de toutes les parties Des militaires de la active et réserve de toutes les forces ont été près du groupe, jusqu'à des athlètes Olympiques ont photographié avec nous, ont dit : « Vous sain les vrais athlètes », ému j'ai pleuré
        Mais les moments qui auraient de venir, seraient inoubliables, donc ceux 3 km de marche, applaudis par tous, observés par les militaires d'escorte et commentaient : « Caraca ! Il voie les parachutistes ! ». Ce a été premier contact de la troupe avec le peuple gaucho, le tordue plus grand qui la population de à la majorité des villes brésiliennes. Quand de l'entrée dans la ligne droite des tribunes, il était là le Général Comandante Militaire du Sud, un parachutiste militaire, qui a dit à ce les de voir : « Gouverneur, ceux-ci sont mes parachutistes ! » - La bande de musique a changé les cordes de marche pour le refrain de l'Éternel Héros, a été la plus grande émotion de ma vie. Ma famille était dans la tribune et criaient par mon nom, mes petits-fils criaient : « Il regarde là le Pépé ! » Aussi émus que me. Mes filles ont laissé du siège et, en accompagnant la parade au côté et quand de la dispersion, m'ont étreinte et ils m'ont embrassée, en demandant des excuses de ne pas croire dans moi et que, à partir de ce moment ils, aimeraient m'appeler de PQD. Plus dont la reconnaissance, j'ai cru que mes souvenirs sortiraient du tronc et que mon béret jamais tournerait pour le fond du tiroir
          Dans le déjeuner, après la parade, dans moyen aux hommages ils, étaient Paulo Fagundes, Nil Moraes, Ricardo Freire, Sérgio Chaves entre autres, mais, à la demande du Freire, a eu un hommage les tous présent feita par le S. Queiroz, venu du Paraná seulement pour l'événement, quand il déclame la « Proposition du parachutiste», où répétions dans voix haute, ne pas se soucier avec l'environnement, donc quand j'ai regardé pour le côté, en répétant chaque mot, étaient mes beaux-fils, mes filles et mes petits-fils, quand j'ai rappelé de ce sergent là derrière « Je veux l'insécurité et l'inquiétude je veux la lutte et la tempête ».
          J'ai reçu de ma femme le baiser de la réalisation, ai vu mes petits-fils en posant avec ce béret misérable, mais original, ma famille confraternizando avec la famille des autres parachutistes, en se montrant intéressés dans les sujets allumés à vie dans la caserne, ce que nous passons et dépassons. Pour eux c'est un héros J'AI GAGNÉ !

Fin


 Tout a sa fin

           Tous ces moments ont été magiques incroyables éternels. Je suis arrivé à la maison, m'ont déshabillée de cet uniforme aux peu, doucement, mes rêves et des anxiétés étaient à la fleur de la peau, mon coeur battait heureux Ni je me suis baigné, ai couché sur le vêtement de lit, avec le béret grená au côté du corps, ai fermé les yeux et ai dormi me suis évanoui suis mort.
          Je me suis réveillé au côté des frères du condor dans une réunion dans la Forêt des Champions
étaient tout ceux qui, près de moi, ont fait notre Brigade d'Infanterie Parachutiste. Éternels héros, éternels anges, subordonnés le Sain Miguel des Archanges, avec lequel maintenant nous devons protéger et servir à nos êtres, en observant d'au-dessus, je descends des cieux lorsque nécessaire
Cette couverture, s'est couché à mon côté, a placé son visage dans mon épaule, n'a exprimé désespoir au aucun moment, et a parlé : « Au revoir, mon vieux ! tu seras, tien pequedete t'ira trouver, te promets. Je t'aime, mon Parachutiste ! »
          J'ai été veillé avec mon uniforme, cremado et lancées mes cendres, de velame du Jacir Ayres, dans de complet ciel d'Alphonse
J'AI GAGNÉ !

LE POIDS DES MOTS
 Maria Célia Besbatti de Mello Queiroz,
 Pequedete depuis 1988

          Il était assis, en brodant mes serviettes, en observant l'enregistrement du texte « Hommes de GRAFONSOS, la Saga d'un Condor », initié minute après la conversation on-line de mon mari et de autre PQD, le Nilo Moraes.
 Une amitié respectueuse, dévouée à lui, comme jamais il n'avait pas vu, donc à la carrière militaire a fait de mon mari un homme, quelquefois, froid et calculateur, donc les décisions qui ont hérité par les fonctions et les attributions de commande non elle permettaient d'être émotives, donc il régnait la raison et la légalité.
 J'ai observé dont digitava forme émue, en regardant pour le passé, m'approche à plusieurs reprises de lui, ai assis au côté du studio, ai observé que l'âme de lui était exprimée dans cet écran de moniteur. Chaque moment il regardait pour moi et commente avec moi, beaucoup de fois, avec lui-même. A créé un personnage en rendant hommage son nouvel ami Nilo Moraes, mais en vérité il pourrait s'appeler GRAFONSOS, donc les hommages étaient pour tous ceux qui l'ont accueilli, l'ont accepté
          Moment seul aller à la rencontre du rêve endormi de beaucoup, apporter à la surface tout que le temps a réprimé à l'intérieur de la poitrine de PQD. Pendant toute trajectoire l'attente de la rencontre, s'allait pleuvoir ou non, préparera les mimos, laisser le foyer et partir.
 Partir avec le coeur pressé, avec la douleur d'un frère qui à peu de jours de la parade est parti pour la Forêt des Champions et dans les bagages les souvenirs et les hommages à être prêtés. Comment ne pas aller ?
          C'EST PQD, tu a pris ce que tu avez de mieux, sa griffe, amour, vibration, orgueil, camaraderie, fidélité à leurs conquêtes dans le 27, forment un homme centré, bientôt pour tout défi jusqu'à la conquête de l'objectif, n'importe pas si tu arrivez estraçalhado par les tempêtes, mais tu il a gagné.
 Famille PQD, cet homme est mon orgueil, les victoires de lui sont mes victoires, voir la luminosité dans les yeux quand il est retourné, en comptant la vibration de tous, voir les photos, les films, la chronique
Ah ! Dans la chronique, il est l'âme de cet homme PQD. Que tous qui liront cette chronique sentent la grandeur d'être PQD et expriment tout l'orgueil de la conquête, ils ne se conviennent pas s'il n'est pas entendu, de ne pas comprendre ce qui est à aile d'argent, boot marron, le béret rouge.
Ah ! Tu savez et êtes ce qui importe. Alors, félicitations à tous, ces symboles vous différencient d'autres hommes.
          Je t'aime, ma PQD, parce que « par un parachutiste a valu la peine attendre ! »
          Sa femme Maria Célia.

Nenhum comentário:

Postar um comentário